C’est l’image des regrets affreux que l’on doit laisser après soi qui rend en partie la mort si amère ; ce sont les horreurs dont on a environné la mort qui rendent, à leur tour, les regrets des survivants si terribles1. […] Nos institutions et nos coutumes en ont fait, à leur tour, un événement dont on se hâte d’oublier, le plus vite qu’on peut, l’épouvantable appareil.