Dans les dernières lignes d’un morceau, la prononciation peut devenir plus vive et plus rapide ; alors la voix s’élèvera, le lecteur laissera plus libre carrière à son émotion, il touche au bout, il a moins à craindre de s’abandonner, et il a besoin de frapper plus vivement les derniers coups. […] Touchés de son supplice, Les échos répétaient : « Eurydice ! […] Dit le prélat, et moi ne puis-je vous offrir, Touché de vos regrets, de quoi les adoucir ? […] Je vois le but, j’y touche, et j’ai soif de l’atteindre. […] Il porte avec sa gueule un mouton sans le laisser toucher à terre, et court en même temps plus vite que les bergers, en sorte qu’il n’y a que les chiens qui puissent l’atteindre et lui faire lâcher prise.