Le vent redouble ses efforts, Et fait si bien qu’il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine Et dont les pieds touchaient à l’empire des morts. […] » Cela me touchera. […] Mais il est éloquent, et les parleurs seront touchés par ce sauvage. […] Il y a de la tristesse dans ses pressentiments. — Par la vivacité de ses peintures, La Fontaine fait que les grands lieux communs de la vie humaine nous émeuvent comme s’ils nous touchaient par une épreuve personnelle. […] Tant il est vrai que l’homme ne sent que ce qu’il s’approprie et ce qu’il touche.