C’est toi qui me devais ces soins religieux1, Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. […] Mais, seule sur la proue, invoquant les étoiles, Le vent impétueux qui soufflait dans ses voiles L’enveloppe ; étonnée, et loin des matelots, Elle tombe, elle crie, elle est au sein des flots1. […] Leur sein fut moins troublé de douleur et d’effroi, Quand du bélier doré qui traversait leurs ondes, La jeune Hellé2 tomba dans leurs grottes profondes. […] A son apparition, toute la fausse poésie se décolora, se fana, et tomba en poussière.