Que vos fictions, dont le but est d’amuser, aient le charme de la vraisemblance ; n’épuisez pas ma crédulité par l’abus du merveilleux : arrière donc la sorcière qui tire tout vivant de ses entrailles un enfant qu’elle a dévoré. […] Mettez qu’avec cela il ait une table bien servie ; qu’il soit homme à répondre pour un pauvre diable sans argent, à le tirer des mains rapaces de la chicane : et Dieu me pardonne, s’il a le bonheur de distinguer jamais le faux ami de l’ami véritable. […] » gardez-vous bien de l’en tirer, au moins. […] qu’on le tire de là, et vous verrez si, rendu à lui-même, il abdiquera cette manie tragique d’immortalité. […] On connaît la traduction de Boileau : Pour me tirer des pleurs, il faut que vous pleuriez.