Si les Français venaient pour ébranler, nous le sentirions aux mouvements de ses racines, qui couvrent la terre où nous marchons. […] Si je vais aux extrémités de la terre, j’y trouve votre main. […] fus-tu placé sur la terre pour n’y rien faire ? […] Qu’ils apprennent, dans les ouvrages historiques, à connaître les événements et les hommes qui les ont précédés sur la terre. […] mais il se trouva par terre, parmi ces milliers de morts dont l’Espagne sent encore la perte.