Est-ce là toute cette science que les hommes publient, et qui vous fait révérer de toute la terre ? […] Fouler la terre. […] » Je lis encore : « Il y a des misères sur la terre qui saisissent le cœur, il manque à quelques-uns jusqu’aux aliments ; ils redoutent l’hiver, ils appréhendent de vivre. » Et il ajoute : « Tienne qui voudra contre de si grandes extrémités ! […] Est-ce là ce grand arbre dont l’ombre couvrait toute la terre ? […] Est-ce là ce fleuve impétueux qui semblait devoir inonder toute la terre ?