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113. (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »

Dédaignant les bornes des temps, comme celles des lieux, on dirait qu’elle l’a fait vivre longtemps avant sa naissance. […] Combien de temps encore serons-nous le jouet de tes fureurs ? […] Ils furent quelque temps saisis, muets, immobiles. […] L’éloquence du barreau a produit, de tout temps, d’illustres orateurs. […] Il ne doit attendre sa destinée, la seule qui l’intéresse, la destinée de son nom, que du temps, ce juge incorruptible qui fait justice à tous.

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