L’ensemble de ce tableau est magnifique dans l’original : on voit le dieu s’avancer, on entend sonner ses traits dans son carquois ; mais le poète, épuisé par le luxe des détails, arrive presque sans force à l’objet principal de la description.
L’ensemble de ce tableau est magnifique dans l’original : on voit le dieu s’avancer, on entend sonner ses traits dans son carquois ; mais le poète, épuisé par le luxe des détails, arrive presque sans force à l’objet principal de la description.