Mais pourquoi faire égorger nos sujets ? […] Sire, Votre Majesté sera vaincue ; elle aura compromis le repos de ses jours, l’existence de ses sujets, sans l’ombre d’un prétexte. […] Je ne lui ai donné aucun sujet réel de guerre. […] Grand sujet de débat, messieurs ! […] Les terres étaient en quelque sorte, suivant la condition de leur possesseur primitif, vassales et sujettes les unes des autres.