Il ne suffit pas de connaître les qualités générales et particulières du style, il faut aussi savoir les fondre ensemble, en un mot, varier le style, si l’on veut éviter la monotonie : « Les beaux vers, disait Fontenelle, oh ! […] Je ne te reproche ni ce que tu me coûtes, ni les peines que je me donne pour y suffire (prétérition) ; mais, je t’en prie, je t’en conjure, laisse-moi travailler en paix (obsécration). […] Il nous suffira, pour en montrer le ridicule, de citer la satire et la fable, que l’on rangeait parmi les petits genres ou genres secondaires. […] J’avais vu dans la satire Pelletier cherchant son pain Cela me devait suffire. […] Dans l’opéra-comique, comme dans l’opéra et dans le genre inférieur de l’opérette, le poème a rarement une valeur littéraire ; la musique et les décors ont la plus grande importance et suffisent pour captiver le spectateur.