Il ne suffit pas de voir, de connaître la beauté d’un ouvrage ; il faut la sentir, en être touché ; il ne suffit pas de sentir, d’être touché d’une manière confuse : il faut démêler les différentes nuances. […] Fontanes disait aussi à Chateaubriand : « La renommée ne suffit pas seule aux choses de la vie, et la misérable science du pot-au-feu est à la tête de toutes les autres quand on veut vivre tranquille. » (Voir le Dictionnaire épistolaire de M.