Veut-on de ces apostrophes ampoulées, pleines de cette morgue que l’on appelait de la dignité, et de ce ton pédantesque que l’on prenait bonnement pour le sublime de la morale ? […] C’est là que l’on trouve un parallèle de Lycurgue et de Boileau, auquel on ne s’attendrait guères ; c’est là enfin que l’on dit « que Buffon, au milieu de l’immensité, n’est qu’à sa place ; que la langue sublime et calme qu’il emploie, inspire, comme le spectacle de l’univers, une admiration tranquille ».