Le premier comprend les sujets puisés aux sources grecques : (Andromaque 1667, Iphigénie 1674, Phèdre 1677.) […] Tout ce que vous voyez conspire à vos désirs : Vos jours toujours sereins coulent dans les plaisirs1 ; L’empire en est pour vous l’inépuisable source ; Ou, si quelque chagrin en interrompt la course, Tout l’univers, soigneux de les entretenir2, S’empresse à l’effacer de votre souvenir. […] Cette clarté est Dieu, source de toute lumière pour les intelligences et les cœurs. […] Les belles actions s’y font aisément, doucement, par nature ; le personnage ne s’exalte pas : la générosité coule de son cœur comme d’une source abondante et ouverte.