Souffrez que je vous représente l’état malheureux… Oh ! […] Rendrai-je votre enfant misérable en ne l’exposant qu’aux incommodités qu’il veut bien souffrir ? […] « Souffre à jamais, malheureux. […] Non, j’ai trop souffert en cette vie pour n’en pas attendre une autre. […] Votez-le, parce que les circonstances publiques ne souffrent aucun retard, et que nous serions comptables de tout délai.