Il sentira vivement leurs fautes ; il en souffrira. […] Tout, dans les inventions de l’art, fut modelé sur les exemples de point d’honneur chevaleresque, de dignité sévère, de bienséance pompeuse, qui brillaient autour du souverain ; et dans les sujets empruntés à l’histoire, la vérité des peintures souffrit souvent de cette préoccupation involontaire de l’écrivain et du poëte. […] Rivarol parle ainsi du goût et de la critique : « Le jugement se contente d’approuver et de condamner ; mais le goût jouit et souffre.