Mais il est bien évident que la première strophe n’est qu’une accumulation de périphrases, une énumération des idées contenues dans le mot Achille, et les deux vers qui terminent la seconde, une sorte de périphrase additionnelle. […] Que l’on m’amène un âne, un âne renforcé, Je le rendrai maitre passé… Vous remarquez dans ces deux derniers exemples une sorte de crescendo dans la synonymie. […] Mais ces sortes de périphrases sont comme les hiéroglyphes qui reçoivent divers sens, selon les divers sujets traités.