Ils distinguent deux sortes de figures : les figures de mots, qu’ils appellent tropes (du mot grec τρԑπω, tourner, parce qu’elles changent la signification des mots), et les figures de pensées, qui, tenant non au signe, mais à la chose signifiée, sont indépendantes des mots. […] Tantôt on enveloppe sa pensée d’une sorte de voile transparent, destiné à déguiser ce qu’elle peut avoir de rude ou de blessant.