J’en citerai un seul exemple, le vers de Boileau : Sans songer où je vais, je me sauve où je puis. Le premier hémistiche est complet, mais, dans le second, le mot où manque de son compagnon, là ; « sans songer où, dans quel endroit, je vais, je me sauve là où je puis. » Mais, en vérité, toutes ces formes sont-elles autre chose que des idiotismes que l’on rencontre à chaque ligne et qui relèvent uniquement du génie de la langue ?