On comprend que Rabelais n’ait jamais pu souffrir celui qu’il appela « le démoniaque de Genève », ce sectaire flegmatique dont la vie fut un implacable combat, même contre ses propres soldats.
On comprend que Rabelais n’ait jamais pu souffrir celui qu’il appela « le démoniaque de Genève », ce sectaire flegmatique dont la vie fut un implacable combat, même contre ses propres soldats.