Alors un voile funèbre s’étendit sur toute la France, qui, après avoir souffert mille angoisses, tendit avec reconnaissance les mains au soldat heureux qui devait l’asservir. […] La France, dont il avait méprisé les droits, l’abandonna ; le courage prodigieux de ses soldats, les efforts de son génie ne purent le sauver ; il succomba accablé par le nombre, et il alla expier dans un exil cruel l’oubli des droits de l’humanité.