Les curieux, pour me connaître, Avec grand soin me font leur cour, Mais mon destin me défendre paraître ; Car l’instant où je vois le jour, Est l’instant où je cesse d’être. […] Il faut surtout qu’il évite avec le plus grand soin d’être long et mystérieux. […] Les images et les traits de la fable ; que le poète a soin d’y répandre avec goût et avec justesse, en font un des plus beaux agréments.