Avant le temps où Florian exprimait déjà dans cette fable ses craintes et ses inquiétudes, et combattait les optimistes de 1789, en des jours plus heureux et plus confiants, il partageait ses fables entre les deux moralités que j’ai indiquées, la moralité privée et la moralité politique, faisant dans l’une la leçon aux individus, comme s’il espérait la corriger, et faisant dans l’autre la leçon au gouvernement et à la société, comme s’il espérait les réformer.