Simple.] […] « Aristote appelle ici fable simple celle qui n’explique que les malheurs d’un seul personnage et il appelle double celle qui a une double catastrophe, qui est heureuse pour les bons et funeste pour les méchants, comme dans l’Électre de Sophocle, où Oreste et Électre sont enfin heureux, et où Égisthe et Clytemnestre périssent. » (Dacier.