Ce qui suit y ajoute encore : Je parcours lentement cette affreuse carrière, Et contemple en silence, épars sur la poussière, Ces restes desséchés d’un peuple entier détruit. […] Rentre dans le fourreau, et restes-y en silence. — Comment le glaive s’arrêterait-il quand Jéhova lui a commandé de marcher, quand il a dévoué à sa fureur Ascalon et le rivage des mers » !