A travers les révolutions des siècles et des mœurs, ces deux genres dramatiques sont restés au théâtre les formes impérissables du beau. […] Ce cerf, depuis un siècle, en ces provinces erre. […] Là se formait cet esprit de discipline, de règle et de choix qui a dominé tout le grand siècle. […] En effet, Voltaire et Montesquieu commençaient à écrire ; ils furent, avec Buffon et Rousseau, les grands prosateurs du siècle. […] Sa langue, si correcte et si facile, a moins de nerf et de physionomie que celle du siècle précédent. » (Ibid.