combien de serviteurs de Dieu, par la malignité du siècle, décriés et calomniés ? […] Il fut digne de donner son nom au siècle qu’ils illustrèrent. […] C’était assurément le plus grand spectacle qu’on ait vu de plusieurs siècles. […] homme dont il sera parlé772 dans plusieurs siècles ! […] Dans ce ravissement divin, les siècles coulent plus rapidement que les heures parmi les mortels ; et cependant mille et mille siècles écoulés n’ôtent rien à leur félicité toujours nouvelle et toujours entière.