L’orateur doit apporter ici, non pas le zèle seulement d’un avocat, mais l’autorité d’un témoin. […] Puisque nous ne concevons pas la véritable éloquence sans la probité, et que nous ne séparons pas l’orateur de l’homme de bien, il est clair que l’avocat ne peut jamais se charger d’une cause dont l’équité lui semblera seulement équivoque.