J’ai cru jusqu’ici que l’amour étoit une passion trop chargée de faiblesse pour être la dominante dans une pièce héroïque ; j’aime qu’elle y serve d’ornement, et non pas de corps, et que les grandes âmes ne la laissent agir qu’autant qu’elle est compatible avec de plus nobles impressions. […] Plusieurs mauvais auteurs affectionnés à Claveret firent, dans ce même temps, de méchantes pièces, qui ne servirent qu’à faire éclater davantage le mérite du Cid et de son auteur.