S’il n’a senti que faiblement, il est impossible qu’il excite dans ses lecteurs une émotion bien profonde. […] C’est ce que Virgile avait parfaitement senti, et ce qu’il a exécuté avec tant de succès dans cette belle description d’un orage, au premier livre de ses admirables Géorgiques : Sæpè etiam immensum cœlo venit agmen aquarum, etc. […] Le même défaut se fait sentir dans cette exposition de la mort de Pompée, si belle et si imposante d’ailleurs.