Voyez comme il parle de sa chaîne d’un ton leste et dégagé ; il ne la sent plus, ou ne veut plus la sentir. […] Cherchez à les bien sentir. […] Il parle en leur nom, comme s’il sentait leur présence en lui-même, et dans son cœur. […] Tant il est vrai que l’homme ne sent que ce qu’il s’approprie et ce qu’il touche. […] Tu vero, lector, si fidem deneges, codicem aperi : Quid sentis ?