Quel progrès dans l’art de décrire et de sentir les beautés de la nature, de La Fontaine à Chateaubriand, en passant par Jean-Jacques Rousseau, Bernardin de Saint-Pierre, Delille et Volney. […] vous êtes perdu : vous sentez ce que vous dites ! […] Dans tous les membres de ce corps on sent couler une vie énergique. […] C’est là qu’à chaque pas l’homme la voit venir, Ou, s’il l’a dans le cœur, qu’il l’y sent tressaillir. […] Le peuple se sent peu de son orgueil farouche : Ce qui frappe les grands n’est pas ce qui le touche.