Ce principe est si naturel, et devient d’une exécution si indispensable, qu’il semblerait presque inutile de le rappeler ici. […] L’écrivain diffus, au contraire, ne croit jamais s’être assez expliqué : il semble se méfier tellement de l’intelligence de son lecteur, qu’il fatigue, qu’il retourne sa pensée, jusqu’à ce qu’il l’ait présentée sous tous les jours possibles.