Il ne semble pas qu’un homme seul y puisse suffire, ni par la quantité des choses dont il faut être instruit, ni par celles des vues qu’il faut suivre, ni par l’application qu’il faut apporter, ni par la variété des conduites qu’il faut tenir et des caractères qu’il faut prendre : mais la voix publique répondra si M. d’Argenson a suffi à tout. […] Il dictait à trois ou quatre secrétaires à la fois, et souvent chaque lettre eût mérité par sa matière d’être faite à part, et semblait l’avoir été.