Il nous semble cependant que l’idée de l’immensité remplie par un Dieu, est bien mieux rendue dans le passage suivant du psalmiste : « Si ascendero in cœlum, tu illic es ; si descendero in infernum, ades ». […] Il a fait sentir pourquoi Homère et les prophètes ne sont jamais plus différents que lorsqu’ils semblent le plus se rapprocher par le fond ou les détails du sujet qu’ils traitent ; et nous ne saurions trop inviter les maîtres et les disciples à se pénétrer de l’esprit qui a dicté le Génie du Christianisme, le plus beau trophée que le génie de la sensibilité et l’enthousiasme du vrai beau aient élevé depuis longtemps à la morale et à la religion.