142Mortels qui jugez vos semblables, Rois qu’à la terre j’ai donnés, Rois devenus si formidables Par vos projets désordonnés ; Instruisez-vous dans ma justice, Si vous voulez que j’affermisse Vos droits par la révolte enfreints ; Pour mériter que l’on vous aime, Aimez, servez, craignez vous-même Le Dieu par qui vous êtes craints. […] Nous pensons qu’il suffît d’être de bonne foi, et d’avoir le sentiment ou l’idée seulement du vrai poétique et du sublime de conception, pour apprécier l’effet de semblables tableaux.