m’allez-vous dire, on a lu La Fontaine ; on sait ce que c’est que le Curé et le Mort 1. […] Cependant je sais que vous n’aimez pas à être refusée, et comme je suis complaisant, quoi qu’on en dise, voici, en attendant, un petit échantillon de mon histoire ; mais c’est du noir3, prenez-y garde. […] Je restai respirant à peine, tout mon corps froid comme un marbre ; à me voir, vous n’eussiez su si j’étais mort ou vivant.