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120. (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86

= Je ne sais que répondre. […] Savoir, participe su, fait au présent absolu, je sai, ou je sais, tu sais, etc. Je sache, présent du subjonctif, s’emploie quelquefois pour le présent de l’indicatif. On dit, suivant l’Académie, je ne sache personne ; je ne sache rien de si beau : pour dire, je ne connais personne ; je ne connais rien de si beau : mais il ne se dit jamais qu’avec la négation. Que je sache, se met à la fin d’une phrase : = il n’y a personne que je sache : = il n’a point été à la campagne, que je sache.

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