Mon âme en t’admirant frémit d’un saint effroi ! […] qu’à leur exemple, ému d’un saint transport, Le peuple, devant lui, se lève après sa mort ! […] Dii me deæque pejus perdant quam perire me quotidie sentio, si scio. » L’histoire ajoute : « Adeo facinora atque flagitia sua ipsi quoque in supplicium verterant. » Les saintes Écritures, et les saints Pères qui les expliquent, sont partout de l’opinion de l’histoire, et ne trouvent point de pareil supplice à celui de la conscience. […] C’est au prix de son sang que la postérité Doit recueillir un jour la sainte liberté. […] … Urne sainte, ouvre-toi !