A l’honneur qu’il m’a fait ajoutez-en un autre : Joignons d’un sacré nœud ma maison à la vôtre. […] Saintes douceurs du ciel, adorables idées1, Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir ; De vos sacrés attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus rien qui les puisse émouvoir. […] Oui, ma fille, il est vrai qu’un père est toujours père7 : Rien n’en peut effacer le sacré caractère ; Je porte un cœur sensible, et vous l’avez percé.