Mais, sans tes clartés sacrées, Qui peut connaître, Seigneur, Les faiblesses égarées Dans les replis de son cœur ? […] Ici, comme dans beaucoup d’autres passages de ses Odes sacrées, Rousseau a tenté de s’approprier les beautés des livres saints. […] Cette pièce appartient aux Odes sacrées de Rousseau, que La Harpe plaçait au-dessus de ses autres compositions.