La Grèce était divisée en une multitude de petits états qui furent d’abord gouvernés par des rois appelés tyrans. […] L’antique maison de Bourbon reparut ; un roi législateur, élevé à l’école de l’infortune, voulant confondre les intérêts et concilier toutes les opinions, consacra la liberté par une charte qui fut acceptée comme un bienfait. […] Le vertueux Camille Jordan, le général Foy et le spirituel Girardin, qui joignirent un amour sincère de la liberté à un attachement patriotique à l’antique maison de nos rois, ont disparu de la scène du monde.