Il prouve ensuite que son client était l’ami de la victime, qu’il n’avait jamais eu avec lui ni querelle, ni rivalité, ni procès ; qu’il était riche, influent, désintéressé ; et que par conséquent il n’a pu céder à aucun motif de haine ou de cupidité. […] (Voir l’article Circonstances.) — Il est honnête homme, il est riche, il est désintéressé, il n’a pas de complices, donc… Les antécédents et les conséquents.