Je le relance seul ; et tout allait des mieux, Lorsque d’un jeune cerf s’accompagne le nôtre : Une part de mes chiens se sépare de l’autre, Et je les vois, marquis, comme tu peux penser, Chasser tous avec crainte, et Finaut2 balancer ; Quelques chiens revenaient à moi, quand, pour disgrâce, Le jeune cerf, marquis, à mon campagnard passe. […] Pour moi, venant dessus le lieu, J’ai trouvé l’action tellement hors d’usage, Que j’ai donné des deux à mon cheval de rage, Et m’en suis revenu chez moi toujours courant, Sans vouloir dire un mot à ce sot ignorant.