Faisons du moins une amitié éternelle au milieu de ce monde où il ne reste rien de durable et d’immobile. […] Mais, là où la patrie est un temple vide, qui n’attend rien de nous que le silence et le passage, il se crée une oisiveté formidable, où la force des âmes, s’il leur en reste, se dépense à se flétrir1.