Un politique A Monsieur de Batz 5 Monsieur de Batz, j’ay entendu avecque plaisir les services que vous et Monsieur de Roquelaure1 avés faict à ceulx de la Religion, et la sauveté que vous particulierement avez donnee en vostre chasteau de Suberbie à ceulx de mon pays de Bearn, et aussy l’offre que je accepte pour ce temps de vostre dict chasteau. […] Ceulx qui suivent tout droict leur conscience sont de ma religion ; et moy je suis de celle de tous ceulx-là qui sont braves et bons3.