En 1815 parut « la Poétique d’Aristote, traduite par Joseph Chénier, avec le texte en regard », suivie d’une traduction en vers français de l’Art poétique d’Horace. […] La jeune fille a été offerte en sacrifice, puis dérobée aux regards des sacrificateurs et transportée dans un autre pays, où la loi ordonnait de sacrifier les étrangers à la déesse.