Le premier soin est de reconnaître par un coup d’œil général le sujet du morceau et de s’en pénétrer assez profondément pour y prendre un véritable intérêt ; l’attention produit une sorte d’excitation réfléchie de l’imagination. […] Dans la lutte qui s’établit, dès les premiers jours de l’homme sur la terre, entre les instincts physiques de son corps et les instincts moraux de son âme, vous reconnaissez le signe d’une déchéance, la nécessité d’une réhabilitation. […] Voilà l’auteur du mal ; c’est lui dont les leçons Nous poussaient aux excès que nous reconnaissons. […] … Tu me l’avais promis, tu devais reparaître, Et, le glaive à la main, te faire reconnaître ! […] Narcisse, c’est assez, je reconnais ce soin, Et ne souhaite pas que vous alliez plus loin.