On se rappelle la vogue de l’Aminta du Tasse et du Pastor fido de Guarini, si fréquemment reproduits dans notre idiome, surtout celle de l’Astrée d’Honoré d’Urfé. — Après 1625, époque où parurent les Bergeries, l’auteur se reposa presque entièrement dans l’amour indolent de la campagne, « faisant de chacun de ses jours le commentaire vivant de ses belles stances ».