C’est au mauvais goût qu’il appartient d’être partial et passionné : le bon goût n’est pas une opinion, une secte ; c’est le raffinement de la raison cultivée, la perfection du sens naturel1. […] À plus forte raison signé d’un inconnu qui mérite un patronage. […] « Il faudrait donc, dans la république des lettres, traiter les satiriques superficiels comme des séditieux qui ne cherchent qu’à brouiller ; et les critiques sages, au contraire, comme de bons citoyens qui ne travaillent qu’à faire fleurir la raison et les talents.